Pour tous ceux qui souhaitent effectuer des poses semi-longues ou longues, ce tableau est fait pour vous…
En effet, si la pose longue est relativement simple lorsque l’on travaille en numérique, elle devient bien plus complexe (quoique la méthodologie ne soit pas hors de portée) en travaillant avec de la pellicule photosensible…
Que ce soit avec ou sans filtre ND, vous devez prendre ne compte votre « temps de référence ». Admettons que votre cellule vous indique une valeur en EV( indice de lumination) égale à 6. Votre pellicule exposée à 100 iso vous impose un temps de pose d’une seconde.
Super ! merci la cellule de mesure de lumière !
Sauf que toutes les pellicules ne réagissent pas de la même manière lorsque l’on passe la barre des 1 seconde…
Ainsi, plus la pellicule est exposée, plus elle perd en sensibilité. C’est la théorie de « non-réciprocité ».
En effet, le couplage : sensibilité (iso ou asa)/ vitesse (secondes) / ouverture (diaphragme) est lié pour obtenir l’exposition idéale, mais si la pellicule perd en sensibilité, cela complique les choses !
Vous trouverez ainsi sur cet article un tableau (téléchargeable) corrigeant ces temps de pose en fonction du temps de référence dépassant « une seconde » (films les plus courants : rollei, kodak et ilford).
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